La contribution de Nicole Arsenault à un avenir durable

Nicole Arsenault

Nicole Arsenault, BA Études multidisciplinaires, 1999

« N’arrête jamais d’apprendre et de te réaliser. »

Selon Nicole Arsenault, c’est le meilleur conseil qu’elle a reçu durant ses études à Glendon. Il s’applique particulièrement bien à la nature de son travail. En tant que professionnelle du développement durable, elle collabore quotidiennement avec différents intervenants pour faire avancer des initiatives importantes. Il est donc essentiel d’avoir la volonté de se perfectionner.

Dès l’obtention d’un baccalauréat en études multidisciplinaires à Glendon en 1999, elle a mis sa passion en pratique en jouant un rôle intégral dans les projets de durabilité de l’Université York où elle a commencé à travailler peu après. Elle est maintenant directrice des programmes au Bureau de la durabilité de la Division des finances et de l’administration. En 2017, elle est entrée à la Faculté d’études environnementales afin de poursuivre ses études en tant qu’étudiante de cycle supérieur. Nicole siège également au conseil d’administration du Windfall Ecology Centre.

En 2016, elle a remporté le Prix de la présidente pour le leadership en matière de développement durable pour avoir rééquilibré la répartition modale des moyens de transport de l’Université avant l’ouverture de la station de métro du campus Keele. Auparavant, les étudiants et les membres du corps professoral et du personnel arrivaient sur le campus dans des véhicules à un seul occupant. Maintenant, la plupart utilisent les transports en commun ou d’autres options plus durables.

« C’était un effort collectif, explique Nicole. J’ai travaillé avec les systèmes de transport en commun pour améliorer les options à la disposition de York; en collaboration avec Smart Commute, j’ai mis en place des solutions de covoiturage; j’ai créé des partenariats avec Zipcar et Entreprise Carshare; et j’ai fait installer des postes de réparation de bicyclettes pour améliorer les options de cyclisme. »

La diplômée de Glendon a découvert son intérêt envers le développement durable par un heureux accident. Elle avait commencé à faire des études de langue française quand elle s’est rendu compte que ses cours à option en bioéthique et en environnement l’intéressaient plus que ses cours de littérature. Un passage à des études multidisciplinaires était logique.

« Les études multidisciplinaires offrent l’avantage d’examiner les défis et les problèmes sous différents angles et d’appliquer diverses disciplines du savoir. En tant que professionnelle du développement durable, cela m’a certainement été bénéfique, car le développement durable a un impact sur tout le monde, sur toutes les choses et dans toutes les disciplines. »

Elle se souvient tout particulièrement de deux cours : un cours de philosophie donné par Georges Moyal et le cours d’Anne Russon sur les humains en tant que primates. Nicole ajoute que des personnes comme Jean-Claude Bouhenic, Gilles Fortin, Shelagh Corbett, Vicki Innes et Tobi Strohan ont joué un rôle important dans son parcours universitaire en dehors des salles de cours.

« J’ai tellement de bons souvenirs de Glendon, dit-elle. C’est un petit campus superbe avec un grand sens de la collectivité. Mes souvenirs les plus chers sont rattachés aux gens et à mes expériences sur le campus. Dès le jour où j’ai emménagé à la résidence Wood, travaillant pour la résidence, pour la sécurité des étudiants, puis comme responsable de résidence, j’ai noué de nombreuses amitiés durables et créé des souvenirs inoubliables. »

La prochaine mission qu’elle s’est donnée consiste à intégrer la durabilité dans tous les aspects de la vie du campus et à bâtir un monde durable pour les générations futures. Sa motivation est à la fois professionnelle et personnelle puisque ces générations incluent son fils.

« Mon garçon de sept ans est incroyable et m’a beaucoup appris sur la vie. Il m’inspire à continuer à me dépasser et à poursuivre ma passion pour l’environnement afin de créer un monde meilleur pour les générations à venir. »

 

Neya Abdi, BA’16 Études internationales
Publié en Décembre 2019

Nicole Arsenault

Nicole Arsenault, BA ‘ 99, Études multidisciplinaires

« N’arrête jamais d’apprendre et de te réaliser. »

Selon Nicole Arsenault, c’est le meilleur conseil qu’elle a reçu durant ses études à Glendon. Il s’applique particulièrement bien à la nature de son travail. En tant que professionnelle du développement durable, elle collabore quotidiennement avec différents intervenants pour faire avancer des initiatives importantes. Il est donc essentiel d’avoir la volonté de se perfectionner.

Dès l’obtention d’un baccalauréat en études multidisciplinaires à Glendon en 1999, elle a mis sa passion en pratique en jouant un rôle intégral dans les projets de durabilité de l’Université York où elle a commencé à travailler peu après. Elle est maintenant directrice des programmes au Bureau de la durabilité de la Division des finances et de l’administration. En 2017, elle est entrée à la Faculté d’études environnementales afin de poursuivre ses études en tant qu’étudiante de cycle supérieur. Nicole siège également au conseil d’administration du Windfall Ecology Centre.

En 2016, elle a remporté le Prix de la présidente pour le leadership en matière de développement durable pour avoir rééquilibré la répartition modale des moyens de transport de l’Université avant l’ouverture de la station de métro du campus Keele. Auparavant, les étudiants et les membres du corps professoral et du personnel arrivaient sur le campus dans des véhicules à un seul occupant. Maintenant, la plupart utilisent les transports en commun ou d’autres options plus durables.

« C’était un effort collectif, explique Nicole. J’ai travaillé avec les systèmes de transport en commun pour améliorer les options à la disposition de York; en collaboration avec Smart Commute, j’ai mis en place des solutions de covoiturage; j’ai créé des partenariats avec Zipcar et Entreprise Carshare; et j’ai fait installer des postes de réparation de bicyclettes pour améliorer les options de cyclisme. »

La diplômée de Glendon a découvert son intérêt envers le développement durable par un heureux accident. Elle avait commencé à faire des études de langue française quand elle s’est rendu compte que ses cours à option en bioéthique et en environnement l’intéressaient plus que ses cours de littérature. Un passage à des études multidisciplinaires était logique.

« Les études multidisciplinaires offrent l’avantage d’examiner les défis et les problèmes sous différents angles et d’appliquer diverses disciplines du savoir. En tant que professionnelle du développement durable, cela m’a certainement été bénéfique, car le développement durable a un impact sur tout le monde, sur toutes les choses et dans toutes les disciplines. »

Elle se souvient tout particulièrement de deux cours : un cours de philosophie donné par Georges Moyal et le cours d’Anne Russon sur les humains en tant que primates. Nicole ajoute que des personnes comme Jean-Claude Bouhenic, Gilles Fortin, Shelagh Corbett, Vicki Innes et Tobi Strohan ont joué un rôle important dans son parcours universitaire en dehors des salles de cours.

« J’ai tellement de bons souvenirs de Glendon, dit-elle. C’est un petit campus superbe avec un grand sens de la collectivité. Mes souvenirs les plus chers sont rattachés aux gens et à mes expériences sur le campus. Dès le jour où j’ai emménagé à la résidence Wood, travaillant pour la résidence, pour la sécurité des étudiants, puis comme responsable de résidence, j’ai noué de nombreuses amitiés durables et créé des souvenirs inoubliables. »

La prochaine mission qu’elle s’est donnée consiste à intégrer la durabilité dans tous les aspects de la vie du campus et à bâtir un monde durable pour les générations futures. Sa motivation est à la fois professionnelle et personnelle puisque ces générations incluent son fils.

« Mon garçon de sept ans est incroyable et m’a beaucoup appris sur la vie. Il m’inspire à continuer à me dépasser et à poursuivre ma passion pour l’environnement afin de créer un monde meilleur pour les générations à venir. »

 

Neya Abdi, BA’16 Études internationales
Publié en Décembre 2019