Nos diplômés travaillent en politique, dans la fonction publique, les services diplomatiques, les relations internationales, le journalisme, la rédaction, l’édition, l’analyse de politiques, le droit et les affaires.

Nos diplômés connaissent du succès dans l’arène politique. Parmi les plus connus, mentionnons Greg Sorbara, ancien ministre des Finances du gouvernement de l’Ontario, David Collenette, longtemps député fédéral, Chantal Hébert, chroniqueuse politique pour le Toronto Star, et F.W. Russel, analyste de la politique publique des Nations Unies.

Cameron Branston

B.A. (Hons.), Glendon (2001)
Agent des investissements, consulat général de la Grande-Bretagne

J’ai choisi l’Université York – et Glendon en particulier – pour son programme de science politique, qui a la réputation d’être l’un des meilleurs au Canada. Glendon ajoutait à mon intérêt pour l’histoire et la politique du Canada et s’est révélé un lieu idéal pour observer les deux solitudes. Cette dualité microcosmique m’a permis de percevoir l’environnement bilingue plus vaste d’autres régions du pays. Le fait que Glendon reconnaisse l’importance de ce bilinguisme m’aide toujours au gouvernement lorsque je dois traiter avec des organismes francophones.

Le petit effectif des classes se prête bien à des discussions approfondies. La nature organique du programme fait que l’apprentissage ne s’arrête pas une fois les cours terminés mais se poursuit au Pub, à la Cafétéria, à la résidence, dans la bibliothèque et au Quad. Les études en science politique m’ont permis de comprendre qu’il était moins important de gagner un débat que de comprendre le point de vue de l’interlocuteur et de partir de cette relation de confiance pour parvenir à des solutions viables.

Un caractère propre à Glendon reste la facilité d’abord de ses professeurs. Soucieux de débattre d’idées, je me suis souvent trouvé à discuter avec mes professeurs longtemps après les cours. Des cours comme ceux du programme Municipal Internship allient pratique et théorie, invitant ainsi les étudiants à observer de près le gouvernement, en leur donnant la possibilité de juger de la pertinence des cours par rapport aux réalités de l’administration.

Alexander Lofthouse

B.A. (Hons.), Glendon (2005)
Analyste principal de la politique
Chambre de Commerce du Canada / Conseil canadien pour le commerce international

J’ai décidé d’étudier la science politique à Glendon parce que j’ai toujours été fasciné par la politique, publique notamment. Mes études universitaires en science politique m’ont permis de dépasser mon seul intérêt personnel et d’arriver à mieux saisir le fonctionnement du monde. Les différents paliers de gouvernement ayant tous une grande influence sur notre vie, il importe de bien comprendre comment et pourquoi les gouvernements prennent leurs décisions.

À Glendon, ce sont les cours sur la politique comparative et sur la politique américaine que j’ai trouvés les plus intéressants. La politique comparative est assurément utile au niveau international car il est important de voir les différences entre les pays – façon de penser, d’être gouvernés – et comment ces différences influencent l’interaction des pays sur la scène internationale. Par ailleurs, pour mon travail, il est essentiel que je comprenne bien la politique et le gouvernement américains car la vie économique du Canada est très liée à celle des États-Unis.

À Glendon, j’ai vraiment apprécié le petit nombre d’étudiants par classe – en fait, beaucoup de mes classes étaient plus petites que les séminaires au niveau du doctorat que j’ai suivis par la suite à Carleton ! Cela veut dire que vous pouvez non seulement dialoguer avec votre professeur de façon plus sérieuse, mais vous pouvez aussi en apprendre beaucoup avec vos condisciples parce que vous arrivez à les connaître.