Le Programme d’apprentis-chercheurs (PAC) est un programme passionnant et enrichissant pour des étudiants de premières et, à partir de l’automne 2019 par l’entremise du programme g21, deuxièmes années du Cercle des meilleurs étudiants à Glendon. Le programme leur permet d’acquérir de l’expérience de recherche dans leur domaine. Les élèves sont choisis en fonction de leurs notes élevées et de leurs preuves de bénévolat et de leadership communautaire au secondaire. Ces étudiants prometteurs sont jumelés aux professeurs de Glendon afin qu’ils acquièrent des compétences de recherche essentielles qui les préparent à poursuivre des études supérieures dans les meilleures universités ainsi que d’autres cheminements de carrière. Cette semaine, afin de célébrer l’expansion du programme, nous communiquons avec Diane Hoffmann pour en savoir davantage sur son expérience et comment le programme a influencé son parcours.

Diane Hoffmann est actuellement étudiante de deuxième cycle au programme de maîtrise en affaires publiques et internationales de l’Université d’Ottawa. Récipiendaire de nombreuses distinctions au cours de son baccalauréat à l’Université York, elle détient maintenant la prestigieuse Bourse d’études supérieures de l’Ontario (BESO) pour la première année de sa maîtrise.

Avant de poursuivre ses études à l’Université d’Ottawa, Hoffmann a obtenu un iBA en études internationales à Glendon et a participé au Programme d’apprentis-chercheurs (PAC), anciennement connu sous le nom du Programme de mentorat en recherche (PMR). Hoffmann a travaillé en tant qu’assistante de recherche du premier cycle pour la Dre Mirela Cherciov, dont les recherches portent sur l’acquisition de compétences écrites en langue seconde et sur la méthode de tester pour capturer avec précision cette acquisition. Hoffmann était jumelée à Dre Cherciov, car elle était auparavant étudiante en linguistique et sciences du langage. Bien que Hoffmann ait changé de direction alors qu’elle était à Glendon, son expérience d’assistante de recherche a été précieuse pour les compétences transférables qu’elle a acquises. En effet, Hoffmann encourage les futurs étudiants-chercheurs à aller au-delà de leur majeure pour explorer différents domaines ou des domaines adjacents à leur majeure et leur donner un aperçu d’un domaine qu’ils connaissent moins.

Grâce à la revue de littérature qu’elle a complétée, Hoffmann a développé des compétences clés en pensée critique et a appris à évaluer des sources pertinentes. Ces compétences ont servi Hoffmann dans son travail au département d’École de politique publique et d’administration du campus Keele, où elle a également obtenu un certificat en analyse des politiques publiques. Elle cite son expérience de recherche en première année pour l’avoir aidée à développer sa confiance en sa capacité à mener des recherches et à s’épanouir dans un environnement universitaire. L’expérience de Hoffmann en matière de recherche l’a poussée à se surpasser sur le plan académique tout en la préparant pour son travail en tant que fonctionnaire du gouvernement de l’Ontario et du gouvernement du Canada, où elle espère continuer à travailler après avoir obtenu son diplôme.

La volonté de Hoffmann d’aller au-delà de ses objectifs de travail est claire: « J’aime la recherche: réfléchir sur différents sujets, compiler des informations et créer des liens. » Le PAC a fourni à Hoffmann sa première occasion de réaliser son potentiel en tant que chercheuse – et de tisser ses liens. Elle souligne également que son travail d’assistante de recherche lui a appris à toujours poser des questions et à faire preuve d’analyse critique. « La recherche est faite par la curiosité et le questionnement! » dit-elle. Elle continuera sûrement à apporter le même niveau d’enthousiasme et de rigueur intellectuelle à la mémoire qu’elle rédigera dans le cadre de sa maîtrise.

Merci à Diane Hoffmann d’avoir partagé son expérience avec le Bureau de la recherche et de l’innovation.