Summer 2015

Glendon students (Bonobo human discourse) presentating the result of their studies at the
42nd International Systemic Functional Congress 

in Aachen Germany, July 2015

Translation Research Summer School
June 22 to 26 at Glendon

Winter 2015

Conversation with Anton Antonov ( Associate Professor National Institute of Oriental Languages and Civilisations — INALCO– France)
April 28, 2015 at 2 pm Fireside Room

Sixth Annual Graduate Conference in Translation Studies
March 14, 2015 at Glendon

Workshop: Translation and Multilingualism (all day)
February 17, 2015
Glendon

Workshop – November 7, 2014  November 7, 2014:
Language and Power/ La langue et le pouvoir **
(Communication in French with synthesis in English)
2140 Vari Hall, Keele, Université York University
2:00-4:00pm / 14h00 – 16h00 Refreshments will be served/Des rafraîchissements seront servis  (Sponsored by French Studies and History (LA&PS, YorkU), and the Centre for Research on Language and Culture Contact (Glendon, YorkU))
** Note: Les 3 conférenciers de la table ronde du 7 novembre interviendront également au Colloque « Francofugies et Francopéties Langues et sociétés au Canada et en France au XXe siècle », un Colloque international et pluridisciplinaire le 8 novembre 2014, au Collège Universitaire Glendon, qui se tiendra dans la Salle du sénat (8h45-16h30). for more information open the documentCRLCC-Workshop series-2014-2015-Nov7-VF ************************************************************************************* Colloque – November 8, 2014 Description de l’événement : Le colloque international sur les francofugies et francopéties en France et au Canada au XX e siècle se tiendra au Collège universitaire Glendon les 7-8 novembre 2014 à Toronto. Piloté par une équipe chevronnée de l’Université York composée du professeur Marcel Martel, d’Alban Bargain, professeur contractuel au département d’histoire, et de Serge Miville, doctorant en histoire, cet événement mettra en contact des chercheurs qui travaillent sur les minorités nationales et les petites sociétés afin de favoriser le croisement des recherches des deux côtés de l’Atlantique. Ce colloque promet d’attirer l’attention, non seulement d’universitaires canadiens et français, mais aussi d’autres pays, car les participants traiteront largement de la problématique des petites sociétés et des groupements nationalitaires. Avec une attention particulière aux minorités canadiennes et françaises, il sera possible d’attirer l’intérêt des individus et des médias sociaux et traditionnels. La langue et la culture sont des sujets qui demeurent au cœur de l’actualité, que ce soit au Canada, en France, ou ailleurs. Du mythe biblique de Babel aux conflits territoriaux et linguistiques de nos jours, ces deux termes intrinsèquement liés l’un à l’autre sont connectés à l’humanité tout entière, non seulement spatialement, mais aussi chronologiquement. D’ailleurs, les études monographiques sur la langue et l’identité, tout en ayant le mérite d’analyser des cas particuliers, ne permettent pas les comparaisons entre divers contextes socio linguistiques .C’est la raison pour laquelle un colloque pluridisciplinaire et international permet d’étudier le sujet en question. Ce projet explore deux phénomènes contradictoires et complexes : la francofugie et la francopétie en France et au Canada. Bien que ces deux néologismes, inspirés des termes « centrifuge » et            «centripète », peuvent prêter à sourire, ils traduisent deux réalités ancestrales et consubstantielles au français depuis sa genèse. Langue composite, comme c’est le cas, après tout, de la plupart des idiomes, le français fut, dès sa création, promu par certains et remis en question par d’autres, selon les projets nationaux défendus. Ainsi, la volonté de renforcer la présence de la langue française comme dénominateur commun national peut être nomméefrancopétie, par opposition à la francofugie, dont le but est de limiter (voire d’éliminer) l’influence de cette langue afin d’en promouvoir une seconde ou de consolider des assises culturelles par rapport à la métropole. Ainsi, depuis les premiers pas de la langue française, ont cohabité, d’une part des tendancesfrancopètes, et, d’autre part, des velléités francofuges. Le but de la francopétiea consisté à défendre le français dans son intégrité linguistique, à utiliser la langue comme lieu de vivre ensemble sociétal et même de l’outiller en tant que forme de résistance à caractère nationalitaire contre les forces culturelles dominantes. Pour ce qui est de la francopétie, ses origines sont multiples. Parmi ces dernières, on peut relever : la promotion d’idiomes ou de dialectes régionaux, un pragmatisme économique, purement idéologique, une résistance culturelle et/ou régionale, ou autre. Dans ce sens, les francopétieset lesfrancofugies s’inscrivent à même la dynamique des petites et grandes sociétés qui conditionnent tant leurs légitimités, leurs portées que leurs champs d’action possibles. Il faut préciser que ces deux notions sont fluides et ont bien évidemment évolué avec le temps, au gré des circonstances. En ce sens, la mise en commun de chercheurs dont les intérêts sont les groupements francophones canadiens qui ont la prétention de former une petite société et les groupements non francophones de l’hexagone qui ont le même objectif est toute l’originalité de la démarche proposée. Le format« atelier », que nous proposons aux participants d’adopter, permet ainsi à chaque participant de produire un texte substantiel qu’il présentera et qui sera discuté par un groupe qui l’aura déjà lu. La discussion et la mise en commun entre des chercheurs d’horizons multiples seront facilitées par le format, car la méthode encourage la prise de connaissance des textes, afin de surmonter les défis que posent la pluridisciplinarité des chercheurs ainsi que les écarts générationnels et culturels. En effet, ce colloque accueille de nombreux chercheurs chevronnés ainsi que des jeunes et des étudiants qui sont des nouveaux venus dans le monde académique. L’un des intérêts de ce colloque à format réduit – il y aura treize chercheurs- consistera à consolider et, dans certains cas, à créer des ponts entre des traditions universitaires et disciplinaires qui n’ont pas souvent l’occasion de réunir leurs recherches. Ainsi, la création ou le renforcement d’axes thématiques va contribuer à réconcilier des milieux qui se connaissent peu. De là l’idée d’un atelier, au cours duquel les spécialistes auront le temps d’affiner leurs connaissances et s’exposer à des horizons de recherches et des points de vue originaux qui va leur permettre d’approfondir leurs analyses. Les organisateurs ont déjà contacté les chercheurs qui ont montré un enthousiasme hors du commun pour ce projet. Certains ont même déjà incorporé le langage et les néologismes présentés dans le résumé que nous leur avons envoyé (voir, en particulier, les résumés de Jean-Baptiste Coyos et celui de Fa ñch Broudic). Le débat s’avérera donc passionnant, profond, et aura, à n’en point douter, un certain impact au Canada et ailleurs. for more information about the program please open the document –francophonie- colloque 8 nov 2014 *********************************************************************************** Workshop November 19, 2014 – room A304 York Hall at Glendon Heather Lotherrington’s paper, will engage the audience on Life logging or the dynamic journalling of private life moments. The intention of collecting and analyzing data in Lifefogging is to support an evolving framework describing new communicative competencies embedded in Language and culture contact in the classroom.